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pour 100kg |
pour 100L |
Azote |
29,4 unités |
38,5 unités |
Anhydride sulfurique |
8,5 unités |
11,1 unités |
Pourquoi apporter du Soufre en Agriculture ?
Le soufre, tout comme l'azote est un des éléments facteurs de rendements. Les cultures riches en protéines telles que les légumineuses sont très demandeuses en soufre. Les carences peuvent se manifester par le jaunissement des feuilles à cause d'une déshydratation, par une réduction du nombre de grains et/ou d'épis, ou encore, par des sensibilités plus importantes aux maladies.
Sur céréales ? La carence se traduit par des pertes du nombre d'épis au mètre carré et de leur fertilité. Les pertes peuvent varier de 10 q/Ha et jusqu'à 20 q/Ha pour les carences les plus importantes.
Le soufre participe à la formation de la cholorophylle dans les feuilles, il est donc indispensable d'en apporter dès la sortie de l'hiver sur les cultures exigeantes. Le soufre est exclusivement composé de thiosulfate d’ammonium, forme assurant une libération progressive de sulfate, nécessaire aux cultures. L’incorporation de thiosulfate ralentit le processus de nitrification et limite ainsi les pertes d’azote au printemps.L'apport en soufre est aussi un bon moyen pour mieux valoriser l'azote disponible dans le sol.
Elément indispensable à la synthèse des protéines, le soufre participe à la formation de la cholorophylle dans les feuilles, il est donc indispensable d'en apporter dès la sortie de l'hiver sur les cultures exigeantes. L'apport en soufre est aussi un bon moyen pour mieux valoriser l'azote disponible dans le sol.
L'alliance de l'azote et du soufre dans ce produit permet de limiter le nombre de passage et de ne faire aucune impasse sur ces deux élements.
Préconisations d’utilisation : Cet engrais est utilisé principalement au printemps sur les cultures au moment du démarrage de la végétation.
Une réponse idéale de par ses équilibres étudiés en Azote-Soufre!
Le soufre est apporté sous forme sulfate qui permet au soufre d'être 100 % disponible pour la plante. Le soufre est nécessaire à la croissance des plantes. Il joue un rôle fondamental dans la synthèse et la constitution des protéines. Le soufre entre dans la composition de nombreuses molécules contrôlant la tolérance des plantes aux stress environnementaux. Il stimule la photosynthèse (effet reverdissement). L'association soufre-azote dans chaque granulé augmente très fortement l'efficience de l'azote. La dynamique d'absorption est optimale. Les carences en soufre sont visibles sur les feuilles les plus jeunes, du fait de sa faible mobilité. Celles-ci jaunissent.
A la fin de l'hiver-début printemps, au moment de la reprise de la végétation, la minéralisation du soufre par la matière organique dans le sol peut être insuffisante par rapport aux besoins de la culture. A ce moment de l'année, les cultures peuvent être en carence s'il n'y a pas d'apport.
Un apport en Soufre est préférable à la sortie de l’hiver. Ceci dans le but de faciliter la synthèse de protéines, et la synthèse de la chlorophylle, pour les cultures d’automne comme pour les cultures de printemps, lors du semis.
Gagnez jusqu'à 6qx/ha sur céréales d'hiver!
Sur colza, selon le CETIOM, l'apport de Soufre au printemps est payant 8 années sur 10. Le CETIOM conseille un apport systématique de Soufre pour une réponse optimale. Dose : 70 à 90 U/ha de SO3 au stade Début Montaison, avec le 1er ou 2ème apport d'azote, suivant la région.
Sur céréales d'hiver, d'après les essais d'Arvalis-Institut du Végétal, le gain permis par un apport de Soufre de blé est supérieur à 6qx/ha pour 30% des parcelles. Dose : 30 à 60 U/ha de SO3 au stade Tallage à Épi à 1cm, avec le 1er ou 2ème apport d'Azote